Une pièce de théâtre délicate sur la transmission de la passion des livres. En partenariat avec les Scènes du Haut-Doubs.

Cette pièce est un véritable moment de poésie (photo Laurent Sabathe).

Lecteur invétéré (et pourtant, ce n’était pas gagné !), Paul entraîne les spectateurs sur les chemins sinueux de son enfance, de son amour du ballon rond, de ses parents qui ne s’aiment plus et, au milieu de tout ça, de son difficile apprentissage de la lecture qui s’est peu à peu transformé en passion dévorante, au contact de deux femmes exceptionnelles : sa grand-mère, Louise, chez qui il allait en vacances, et une maîtresse remplaçante, aux méthodes de travail peu banales…

Sorte de “Cercle des poètes disparus à la française”, cette pièce distrait et interroge, propose à la fois un voyage simple et cependant profond, urgent, essentiel. On passe de l’humour à la mélancolie, de la réflexion au sourire, et les sons, peu nombreux, viennent déposer une étole fluide sur les épaules du texte.

Le mélange des émotions, des genres, des propos, fait sans doute la force particulière de ce projet, sa singularité. Le texte est fin, poétique, délicat. Il nous offre un voyage intemporel et enthousiasmant à travers les mots.

Tant qu’il y aura des coquelicots

Jeudi 7 novembre à 20 heures
Théâtre de Morteau

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